CONCERT LUNDI 16 NOVEMBRE 2015 à 20H30 |
CITÉ INTERNATIONALE DES ARTS 18, rue de l'Hôtel de ville, 75004 Paris Auditorium Edmond Michelet Entrée libre |
Parallèlement à des études classiques de violoncelle,Hugues Vincent apprend le jazz à l’édim et au conservatoire de Montreuil, obtient une licence de musicologie et un Capès musique à l’université de Paris 8 et se forme à l’improvisation au cours de stages et master class.
Il collabore à de nombreux projets dont "Tilbol"; "Celluloid"; "String project"; "New Jazz Ensemble"; "Bobun"; les duo avec Mori Shige, Hachiya Maki, Kumi Iwase et multiplie rencontres d’improvisation.
En solo, il se produit lors d'improvisations acoustiques, électro-acoustiques, dans le cadre de concerts de musique écrite, ou il joue les pièces pour violoncelle seul ou violoncelle/electronique composées par Kumi Iwase et Vincent Laubeuf... et s’est produit dans différents pays.
Il collabore à de nombreux projets dont "Tilbol"; "Celluloid"; "String project"; "New Jazz Ensemble"; "Bobun"; les duo avec Mori Shige, Hachiya Maki, Kumi Iwase et multiplie rencontres d’improvisation.
En solo, il se produit lors d'improvisations acoustiques, électro-acoustiques, dans le cadre de concerts de musique écrite, ou il joue les pièces pour violoncelle seul ou violoncelle/electronique composées par Kumi Iwase et Vincent Laubeuf... et s’est produit dans différents pays.
Le musicien, artiste et architecte Christoph Hess vit à Berne. En 1998, il crée le projet Strotter Inst. après plus de dix ans de performance musicale sur tourne disques, cassettes et boucles. En utilisant des platines modifiées, sans disques ou enregistrements, Christoph Hess crée des champs denses de crépitements et de bourdonnements hypnotiques transformant ainsi les platines en instrument.
Le son s’échappe en grondements low-fi, clics et craquements, dont les répétitions restituent des couches de rythmes pour mener à une transe fragile qui doit son intensité à une musique dont le déploiement se fait dans l’instant et reste tributaire du comportement imprévisible des machines et de leurs interactions.
Le son s’échappe en grondements low-fi, clics et craquements, dont les répétitions restituent des couches de rythmes pour mener à une transe fragile qui doit son intensité à une musique dont le déploiement se fait dans l’instant et reste tributaire du comportement imprévisible des machines et de leurs interactions.